Nick Drunken Broken Arms & His False Dylan Cobb – Everybody’s Trying To Fuck, I Just Want To Make Love – LP vinyl

Nick Drunken Broken Arms & His False Dylan Cobb – Everybody’s Trying To Fuck, I Just Want To Make Love LP
(Safe in the Rain Records/Polaks Records -2021)


“Nouveau projet de Nick Wheeldon (Os Noctambulos, The Necessary Separations, 39th & the Nortons…), mené avec Antoine Sapparrart (Bass / Backing Vocals), Jules Meli (Lead Guitar / Lead & Backing Vocals) et Stéphane Gillet (Drums / Backing Vocals), Nick Drunken Broken Arms & His False Dylan Cobb sort son premier album: Everybody’s Trying To Fuck, I Just Want To Make Love. Tout un programme, qui ne s’embarrasse pourtant pas de trop de…préliminaires, se faisant d’emblée direct et braillé. Do you, lo-fi et punky, énervé, donne le ton de suite. Rêche, râpeux, garage, porteur de mélodies dézinguées par un tir tendu sans trop de politesse. Ca mord les fesses, Wasted est lui aussi alerte, plus mélodique certes, mais dans ces mêmes dispositions dégingandées. Il en émane, toutefois, des notes claires en contrepoint avec un chant réellement colérique. Le rythme s’accélère, le ton devient noisy. Parfait. Il semblerait que nous soyons partis pour une dizaine d’efforts similaires, efficients, sans manières. No reason to live enchaine, punk dans ses tons, en délivrant malgré cela de belles croches. Two eyes, à la Jay Reatard, marche ensuite sur les traces fiables de ses prédécesseurs.”

“Avec Everyone’s my Doctor, on aborde des terrains plus polis, plus pop, à la dégaine vaguement country. Bonne idée: on ne perd aucunement, de plus, en qualité dans la réalisation. Il est bon, aussi, de calmer le jeu. Ca casse la linéarité, fût-elle fort plaisante. Window shopping est d’ailleurs mélodieux, lui aussi, à l’image de ce que peut faite Wheeldon sur son Communication problems sorti au début de ce mois chez Le Pop Club records. Ca chatoie, la retombée est grandement appréciable. Attention messieurs, ne nous faites tout de même pas le coup du second volet posé, sans vigueur débridée. Take take take renvoie des airs poppy-folk alertes, dénudés, à nouveau divinement lo-fi. On avait tort de s’inquiéter, c’est juste que Nick Drunken Broken Arms & His False Dylan Cobb affectionne la mélodie. De ce fait, il la décline de manière variée.”

Muzzart

30,00 

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