The Rebels
of Tijuana
Fondé en 2008 à Genève, le groupe s’est rapidement tourné vers l’écriture en français, fasciné par la culture yéyé des années 60, le rock garage et le cinéma nouvelle vague. Obsession que l’on retrouve sur leur premier EP « J’adore ce Flic » L’axe Dutronc, Ferrer, Gainsbourg en ligne de mire. Avec au compteur plusieurs albums, singles, EPs, compilations, plusieurs tournées européennes, des festivals (Paléo, Printemps de Bourges...), des ouvertures pour Jon Spencer, les Charlatans, Lords of Altamont ou BB Brunes pour ne citer qu’eux, les genevois de The Rebels of Tijuana se sont bâtis une solide réputation de groupe de scène dans les années 2010, reconnus en force par la presse française, suisse et canadienne (Canal +, Rock&Folk, Les Inrocks, RTS, France Inter, FIP, Ouï FM, CISM & CIBL, Festival de Cannes…).
Fortement influencé par les groupes américains des années 60 (Monkees, 13th Floor Elevators, Byrds…) le groupe commence à ralentir les tempos avec le morceau « Brazil 70 » qui a un certain succès dans le milieu footballistique (L’Equipe, France Football). Le groupe évolue et délaisse le langage yéyé en 2018 avec l’album « Asile », au profit d’une écriture plus poétique proche de la scène française underground (Bertrand Burgalat, Julien Gasc…). Un horizon plus pop et psychédélique doté d'instrumentales cinématiques dans un français plus surréaliste à l’image de leur titre « Et le Blizzard s’estompe », qui deviendra le titre le plus écouté du groupe.
The Rebels of Tijuana ont fondé le label Le Pop Club Records en 2011 et ont également réalisé différentes musiques pour des séries US et australiennes (« You're the worst », « Beyond », « Offspring », « Very bad girls »…), une publicité "Orangina" en Angleterre ou récemment dans la série « Emily in Paris ».
The Rebels of Tijuana - Nouvel album "Rare vol. 2"
Sortie le 9 juillet 2021 (digital & K7)
Ganache Records/ Le Pop Club Records/ Echo Orange
EN
Founded in Geneva in 2008, the band quickly turned to writing in French, fascinated by the yéyé culture of the 1960s, garage rock and the French New Wave cinema. This obsession can be found on their first EP, ‘J’adore ce Flic’, with Dutronc, Ferrer and Gainsbourg in their sights. With several albums, singles, EPs, compilations, several European tours, festivals (Paléo, Printemps de Bourges, etc.), opening acts for Jon Spencer, The Charlatans, Lords of Altamont and BB Brunes, to name but a few, Geneva-based The Rebels of Tijuana have built a solid reputation as a live band in the 2010s, gaining recognition from the French, Swiss and Canadian press (Canal +, Rock&Folk, LesInrocks, RTS, France Inter, FIP, Ouï FM, CISM & CIBL, Festival de Cannes, etc.).
Strongly influenced by American bands of the 1960s (The Monkees, 13th Floor Elevators, The Byrds, etc.), the band began to slow down the tempo with the track ‘Brazil 70’, which enjoyed some success in football circles (L’ Equipe, France Football). The band evolved and moved away from the yéyé style in 2018 with the album ‘Asile’, in favour of a more poetic style closer to the French underground scene (Bertrand Burgalat, Julien Gasc, etc.). A more pop and psychedelic horizon with cinematic instrumentals in a more surreal French style, as exemplified by their track ‘Et le Blizzard s’estompe’, which became the band’s most listened to track.
The Rebels of Tijuana founded the label Le Pop Club Records in 2011 and have also produced various music for US and Australian series (You’re the Worst, Beyond, Offspring, Very Bad Girls, etc.), an Orangina advert in England and, more recently, the serie Emily in Paris.
Discographie
